Lors d’un discours prononcé à son QG à Paris, François Fillon a réaffirmé qu’il serait candidat à l’élection présidentielle.
« C’est un assassinat politique, on assassine l’élection présidentielle », a-t-il martelé. S’il se rendra à la convocation des juges, il souligne que pour lui, la date du 15 mars, deux jours avant la clôture des parrainages, est « calculée pour l’empêcher d’être candidat à l’élection présidentielle ».