Emmanuel Macron, qui a présenté son projet ce jeudi, a montré sa fermeté vis-à-vis du terrorisme, de la délinquance et des dérives policières.
« La liberté, c’est d’abord la sécurité » a déclaré le leader d’En Marche ! en insistant sur le contexte de « risque terroriste ». « Je veux une France qui garantisse à tous la possibilité de se déplacer sans céder à la peur », a-t-il ajouté. Son objectif principal est de « lutter contre les terroristes, contre tous les clans terroristes » au niveau national, européen et international. Il souhaite pour cela consacrer 2% du PIB aux dépenses militaires.
A l’échelle du territoire national, il a notamment proposé la création d’une police de sécurité quotidienne qui disposerait « d’autres techniques d’intervention ». Mesure qui accompagnerait la création de 10 000 postes de policiers et gendarmes.
Le candidat a aussi insisté sur sa volonté d’appliquer « une politique de tolérance zéro à l’égard de toute délinquance mais également à l’égard des dérives policières », en référence à l’affaire Théo.